IKIGAI, demandez le programme !

J’ai rapidement ajouté à ma palette d’accompagnante par le coaching, une formation « coacher avec l’IkigaÏ ». Vous trouverez ici une introduction sur ce qu’est l’ikigaï.
J’ai accompagné plusieurs personnes en individuel avec l’Ikigaï et cela m’a semblé tellement percutant et juste que j’ai décidé de décliner cet accompagnement pour un groupe, de 12 personnes maximum.
Nous sommes des êtres avec un mental et une raison et j’ai gardé cette dimension, tout particulièrement dans les exercices que vous aurez à préparer (si cela est possible pour vous, pas de punition si vous n’avez pas le temps !) entre chaque session.
C’est lors des ateliers en présentiel que nous proposerons à notre mental et à nos « gardiens » de baisser un peu la garde pour nous permettre d’accéder à des parts de nous plus enfouies ou même oubliées.
Ainsi, nous cheminerons avec le corps, les sens et des outils qui nous permettent de laisser s’exprimer une part de nous souvent invisibilisée par notre quotidien et nos obligations au sein de la société.
Nous utiliserons les constellations systémiques et rituelles, les contes, les relaxations guidées, le mouvement (qi gong, danse rythme thérapie…), le pouvoir des images (cartes créatives, tableau de vision…), des odeurs…
La première aventure en groupe, qui s’est terminée cet été, a été riche de partages et de changements ! J’ai donc décidé de renouveler l’expérience, avec une option « Nature » (deux demi-journées), une option Danse thérapie et une option « Accompagnement individuel » (trois fois 1h).

Voici donc une nouvelle proposition, pour l’année scolaire 2025/2026. Les modules sont indépendants, mais l’intérêt est bien sûr de parcourir tous les pétales de la fleur pour parvenir au centre…
Samedi 8 novembre 14h-18h : Ce que j’aime
Samedi 6 décembre 14h-18h : Ce pour quoi je suis doué.e (mes talents…)
Samedi 10 janvier 14h-18 : Ce dont le monde a besoin
Samedi 14 février 14h-18h : Ce pour quoi je suis payé.e
Samedi 21 mars 10h-18h : Mon Ikigaï
Entre chaque atelier, à votre rythme des exercices et des pratiques guidées…
Si vous ne pouvez pas être présent à une date, nous trouverons le moyen de rattraper;
Bienvenue dans la bienveillance et le partage, l’humilité du chemin.
NB. Un entretien préalable aura lieu, avant inscription.

Tarifs et options
Le programme complet (les exercices entre chaque session, les quatre demi-journées et la journée entière : 300€
Demi-journée : 60€ (me contacter si problème financier)
Journée entière : 100 €
Option Nature (2 demi-journées à Courmettes) : 120€
Option Danse thérapie (4 sessions de Danse des 5 éléments thématiques en groupe) : 50€
Option Suivi personnel (3 séances individuelles d’une heure) : 150€

Pour plus d’explications sur ce parcours :

Cette représentation de l’ikigai sous forme de ce que l’on pourrait considérer comme un diagramme de Venn, et plus poétiquement, une fleur, est la plus connue chez nous et on la doit à Mark Winn qui l’a publiée en 2014 sur son blog The View Inside Me sans imaginer une seconde qu’elle allait être utilisée et reproduite des milliards de fois et donner naissance à une série de nouvelles publications et ouvrages sur le thème.
Ici, Mark Winn a mis en évidence que l’ikigai repose sur l’interconnexion de 4 sous-ensembles indépendants au départ :
– ce que l’on aime (premier pétale)
– ce pour quoi nous sommes doués
– ce dont le monde a besoin
– ce pour quoi nous sommes payés

Aux intersections de ces cercles émergent de nouveaux ensembles à leur tour interconnectés 2 à 2 :
– notre passion (au croisement entre ce que l’on aime et ce pour quoi on est est doué)
– notre profession (au croisement entre ce pour quoi on est est doué et ce pour quoi on est payé)
– notre mission (au croisement entre ce que l’on aime et ce dont le monde a besoin)
– notre vocation (au croisement entre ce dont le monde a besoin et ce pour quoi on est payé)

A l’intersection des cercles interconnectés 3 par 3 se dévoilent encore de nouveaux ensembles qui permettent d’identifier les besoins, ce qui manque pour trouver pleinement son ikigai :
– plaisir, confiance en soi, utilité, mais précarité financière
– plaisir, utilité et confort financier, mais manque de confiance en soi
– plaisir, confiance en soi et confort financier, mais manque d’utilité
– confiance en soi, utilité, confort financier, mais manque de plaisir

Finalement, l’état recherché au travers de la quête de l’ikigai, peut émerger par l’analyse de ce qui se trouve à l’interconnexion des 4 cercles, garantissant à la fois le plaisir, la confiance en soi, l’utilité et le confort financier.

L’ikigai évolue avec le temps, tout comme chacun évolue.
Nos plaisirs évoluent (cercle 1), nos compétences évoluent (cercle 2), les besoins du monde évoluent (cercle 3), nos besoins financiers évoluent (cercle 4), donc forcément notre ikigai évolue !

L’ikigai est différent d’un objectif de vie.
Par exemple, se marier est un objectif, vivre dans l’amour est un ikigai, gagner 1 million d’euros est un objectif, vivre dans l’abondance et la générosité est un ikigai, avoir des milliers de vue sur sa chaîne youtube sur l’écologie est un objectif, sensibiliser au développement durable est un ikigai, méditer chaque jour est un objectif, cultiver ma paix intérieure est un ikigai, créer un centre de formation est un objectif, transmettre et enseigner aux futures générations est un ikigai.

Si une histoire m’était contée

La soupe aux cailloux, ou le conte de celle qui avait trouvé son Ikigai
En plein coeur de la Sibérie, vivait une vieille vieille babouchka qui connaissait le secret du bonheur. Depuis des années, cette babouchka allait de village en village pour dévoiler son secret à qui voulait bien l’entendre.
Alors qu’elle traversait un village encore inconnu, elle frappa à toutes les portes afin de trouver un lit pour la nuit. Mais personne ne lui ouvrit.
– Ces gens restent chez eux, ils ne savent pas être heureux, se dit-elle. Voilà un endroit pour moi !
La babouchka commença par ramasser du petit bois pour allumer un feu.
Puis elle alla remplir sa gamelle au puits et la posa dessus.
Un petit garçon s’approcha d’elle :
–  Que faites-vous ?
–  Je fais une soupe aux cailloux, répondit-elle. D’ailleurs j’aurais besoin de trois grosses pierres rondes. Sais-tu où en trouver ?
Le petit garçon fila chercher trois belles pierres, qu’il lui tendit.
–  Ces pierres feront une excellente soupe, dit-elle en les plongeant dans l’eau. Dommage qu’on ne puisse pas en faire beaucoup dans cette gamelle…
–  Ma mère a une grosse marmite ! dit le garçon. Je vais la chercher ! 
Alors qu’il prenait la marmite, sa mère lui demanda ce qu’il faisait.
–  Il y a une babouchka sur la place du village. Elle fait une soupe aux cailloux…
–  Une soupe aux cailloux ? songea-t-elle. J’aimerais bien voir ça !
La mère suivit son fils sur la place du village. Puis, intrigués par la scène, les villageois sortirent un à un de chez eux.
–  Évidemment, précisa la babouchka, la vraie soupe aux cailloux doit être assaisonnée avec du sel et du poivre, mais je n’en ai pas…
–  Moi, j’en ai ! dit un villageois.
Et il disparut avant de revenir avec du sel, du poivre et d’autres épices de la région.
La babouchka goûta la soupe :
–  La dernière fois que j’ai eu des pierres de cette forme, j’y ai ajouté quelques carottes, c’était délicieux !
–  Des carottes ? demanda une autre femme. Je crois que j’en ai une ou deux chez moi. Je vais voir…
Et la femme revint avec un panier rempli de carottes… ainsi que deux beaux choux, qu’elle se pressa de jeter dans la marmite.
–  Hum, soupira la babouchka. Quel dommage que je n’aie pas d’oignons, ce serait si bon !
–  Oh oui ! dit un fermier. Je cours en chercher !
Et petit à petit, chacun apporta de quoi enrichir la soupe. Quand l’un avait à cœur de donner, le suivant donnait plus encore. Poireaux, tomates, saucisses, lard fumé…. La soupe dégageait à présent une délicieuse odeur. Enfin, la babouchka déclara :
– La soupe est prête !
Tous se réunirent alors autour d’une grande table, apportant avec eux pains et boissons. Quel festin ! Au village, on n’avait jamais vu ça !
Après le repas, chants et danses se prolongèrent jusque tard dans la nuit.
Le village avait retrouvé le bonheur et la joie, grâce à trois cailloux et une vieille, vieille babouchka.

Premier exercice

Afin de mettre les premières idées spontanées de votre mission de vie fondamentale qui s’exprime au travers de votre ikigai, voici un premier exercice
1/ Lisez chacun des exemples de missions de vie de la liste (à me demander)
Lisez-les en étant à l’écoute de ce que vous ressentez spontanément.. sans chercher à comprendre, à analyser, à maîtriser, à juger…
2/ Notez tous les mots qui résonnent fortement en vous sur une feuille, sans ordre, sans intention, sans jugement 
3/ Retenez les 7 mots qui vous semblent les plus essentiels
Notez de façon bien visible ces 7 mots dans une liste que vous pourrez nommer « Liste n°1 »

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