Formée durant 3 ans auprès d’Eric Laudière, dans le cadre de l’école des chemins de la joie, je vous propose de venir expérimenter l’incroyable outil des Constellations familiales. J’ai rencontré Eric, les constellations familiales et le Mexique en 2012, et cela a changé ma vie.
A mon tour aujourd’hui de vous accompagner au mieux dans l’espace des constellations familiales, systémiques et rituelles, cet espace dans lequel vous pourrez aller soigner de vieilles blessures, rendre à chacun ce qui lui appartient, et surtout cheminer vers qui vous êtes vraiment.
Les constellations familiales, systémiques et rituelles peuvent se pratiquer dans nombre de situations et également de plusieurs manières. Je distinguerai ici les constellations familiales en groupe, dans une pièce et les constellations familiales en consultation indivviduelle (RER).
Les constellations familiales en groupe

Constellations familiales individuelles
C’est une pratique de constellations familiales et systémiques, en cabinet, c’est à dire à deux, le patient et le thérapeute, nommée RER (Reconnaître, Embrasse, Relâcher).
La constellation familiale, habituellement vécue dans une pièce avec un ensemble de personnes, a lieu ici dans l’espace sécuritaire du cabinet de consultation, dans l’espace psycho–affectif du patient, qui agit comme un “théâtre” où il peut vivre ses sensations.
Ce travail commence par un entretien entre le patient et le thérapeute, autour de la demande que le patient fait, à savoir ce qu’il veut changer dans sa vie, aujourd’hui.
Puis, dans un état de relaxation propice aux ressentis, le patient va pouvoir Reconnaître, c’est à dire amener à la conscience, certaines réalités en rapport avec sa demande, reconnaître certaines parties blessées, il va pouvoir les Embrasser, les accueillir, les nommer et les nourrir, les réparer et enfin, les Relâcher, c’est à dire rendre à chacun ce qui lui appartient, dénouer, séparer les amalgames et revenir de ce voyage, plus léger et comme libéré.
« On s’aperçoit que, pour que les gens changent vraiment et de façon durable, il faut que le système familial, social et professionnel les laisse changer, que les croyances changent.
Il y a un impact du regard de la famille et de la société et de l’équilibre familial sur le développement d’une personne, de sa santé, de sa maladie et de sa rechute. »
« Il vaut mieux savoir une vérité, même difficile, honteuse ou tragique, plutôt que de la cacher, parce que ce que l’on cache, les autres le subodorent ou le devinent (car nous ne sommes pas des acteurs professionnels) et ce secret, ce non-dit, devient un traumatisme plus grave à long terme.
Le secret est toujours un problème. »
Anne Ancelin Schützenberger « Aïe, mes aïeux ! »